Le CDIS souhaite offrir une porte d’entrée unique et incontournable sur un large éventail de moyens financiers et techniques pour les développeurs d’entreprises de la diaspora sénégalaise. Il travail sur plusieurs projets.
#1: ACCOMPAGNER
Les entrepreneurs de la diaspora cherchant à développer une activité économique au Sénégal.
#2: AIDER
Nos membres et partenaires dans la recherche de financements de manière structurée et organisée.
#3: CRÉER
Une assurance pour les familles de nos membres et partenaires qui sont restées au Sénégal.
#4: PROMOUVOIR
La recherche et l’innonvation auprès de nos collaborateurs cibles à travers différentes formes.
PROJET DE CRÉATION D’UNE ORGANISATION FÉDÉRALE POUR LES ENTREPRENEURS DE LA DIASPORA CHERCHANT À DÉVELOPPER UNE ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE EN SÉNÉGAL
Historique
Le projet fait suite à une première phase qui comprenait l’élaboration et la conception d’une organisation qui sert de portail pour les entrepreneurs de la diaspora cherchant à développer une activité économique au Sénégal. Un regroupement de défense des intérêts spécifiques de ses investisseurs au Sénégal.
Ces deux outils reprennent, de manière synthétique, les informations strictement nécessaires aux opérateurs privés de la diaspora qui dispose déjà d’entreprise(s) et ceux cherchant à développer une activité économique dans leur pays, afin d’orienter leurs recherches de financement et d’accompagnement technique de manière efficace et appropriée.
Les ressources financières et techniques dans cette première phase de projet sont les ressources extérieures aux pays dans lesquels se déroule l’activité économique. Elle présente essentiellement les institutions émanantes des accords de Cotonou qui sont encore largement méconnues et mal utilisées.
LE GUIDE DE CDIS
Le Guide de CDIS est divisé en trois parties :
Première partie : Préparer et financer un projet d’investissement
L’objectif premier de cette partie est d’aider l’entrepreneur à se situer dans l’élaboration de son projet et à en vérifier la faisabilité, à l’aide notamment d’un Plan d’affaires (Business Plan). “L’investissement privé constitue un puissant catalyseur de l’innovation, de la croissance économique et de la réduction de la pauvreté”.
Deuxième partie : Le fonctionnement des instruments financiers
Cette seconde partie explique les principes de fonctionnement de chaque instrument financier pré-identifié.
Troisième partie : Les ressources disponibles pour les immigrés investisseurs
Cette dernière partie répertorie les points d’accès locaux aux financements et aides techniques proposés par les IFD sous forme de tableau.
Impacts du projet
Le CDIS rejoint une demande des bailleurs de fond qui trouveront une attache, un moyen de correspondre aux accords internationaux et de toucher via les IFD les bénéficiaires de projet en un seul clic. Il leur permettra également de faciliter et de faire la promotion de leurs actions à travers nos supports de communications afin d’assoir un meilleur climat de l’investissement provenant de la diaspora.
Le CDIS permet de mettre en réseau les acteurs de l’entreprenariat de la diaspora sénégalaise tant en Europe et partout dans le monde. C’est ainsi qu’on retrouvera un cadre actualités ou agenda, des idées porteuses ou une interface de propositions de rencontre ou de conférences. Le CDIS sera dès lors considéré comme un espace d’interactions et non plus uniquement comme une mise à disposition d’informations statiques. La remontée des informations est assurée par un réseau constitué de partenaires qui joue un rôle important pour assurer la pérennité des investissements afin de renforcer leur chance de réussir et leur permettre ainsi d’accroître leur impact économique et social dans leur environnement proche.
En facilitant l’accès à l’information et en renforçant les connaissances techniques et organisationnelles des entrepreneurs, le CDIS permettra d’améliorer concrètement et durablement le fonctionnement des entreprises et par la même occasion la vie des populations.
Le concept du CDIS tel qu’imaginé dans ce projet sera parfaitement transposable à d’autres pays en voie de développement. Il s’agira d’ancrer très vite le projet en Afrique afin qu’au terme de trois ans, il puisse être totalement autonome et géré par des partenaires africains.